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 Nayla

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Nayla Black
Nayla Black
L'amazone
Messages : 19
Date d'inscription : 16/05/2017
Age : 26
MessageSujet: Nayla   Nayla EmptyMar 16 Mai - 1:34


Nayla Black
Feat. Marie Avgeropoulos

Date de naissance 05.03.1998
Lieu de naissance : Etats-Unis
Age : 18 ans
Statut : Célibataire
Groupe désiré : Dhampir
Éphémère : Non
Élément (pour les moroïs) : /
175*280



Caractère & Physique

Allons au front mes frères, ne craignons pas la douleur, pensons simplement à notre peuple qui a besoin de nous pour survivre. Gagnons en leur nom, battons-nous pour notre liberté et frappons un grand coup pour que plus jamais nos ennemis ne se relèvent. Allons mes frères, sortez les armes et brandissez-les bien haut. Bientôt nous reviendrons pour chanter l’hymne de notre victoire.
Je suis une leadeuse, devenue chef de mon peuple dès l’âge de treize ans, mais comme n’importe qui avant d’en devenir un, j’ai eu le mien moi aussi. J’étais un bon soldat, la meilleure, celle qui apprenait le plus vite, celle qui réfléchissait le plus pertinemment et surtout je n’ai jamais été vantarde ou trop sûre de moi. Pour diriger un peuple, il y a trois points importants à ne pas négliger. Tout d’abord le savoir, mieux on connaît les lieux, l’ennemi, nos propres ressources, et mieux on s’en sort. Ensuite le self-contrôle, ne jamais laisser une provocation nous mettre à bout et nous faire agir bêtement, de nature assez impulsive, c’est la règle avec laquelle j’ai le plus de difficulté. Enfin il faut savoir faire passer son peuple en premier, toujours prendre des décisions bonnes pour lui, peu importe les sacrifices et les mécontentements.
Je suis une battante, guerrière dans l’âme et dans le sang, c’est dans l’arène que j’ai grandi. Je ne refuse jamais un combat, je n’en perds jamais non plus. Je suis vite passé du statut de l’élève à celui de maître, enseignant à mon tour aux jeunes recrues lorsque je n’étais pas sur le front. Téméraire et combative, tant qu’il y a de la vie il reste encore de l’espoir. Abandonner est un mot qui a été banni depuis bien longtemps là où je vis. Tout le monde sait que le sang entraîne le sang, alors tant que celui de mon peuple continuera de couler, la guerre ne cessera de continuer.

Ma part la plus féminine est probablement mes longs cheveux châtains descendant jusque ma poitrine. Parfois complètement lâchés mais la plupart du temps attachés en tresses sur les côtés et torsades au sommet de la tête, sans toucher au reste de ma longueur qui retombe le long de ma nuque et de mon dos. C’est la coiffure que j’ai habituellement, elle me donne un côté guerrière et c’est surtout plus pratique pour ne pas être gênée dans les combats. J’ai des yeux clairs envoûtants, certains d’entre vous diront qu’ils ressemblent à ceux de mon père, mais le seul que j’ai jamais connu avait des yeux marron. Là encore ce n’est pas la beauté qui m’intéresse, mais toutes les possibilités d’amadouer son adversaire à travers un simple regard pour mieux le tromper ensuite. Devons-nous vraiment poursuivre ? J’ai un nez comme vous tous qui me sert à respirer. Une bouche qui me permet de me nourrir, mordre ou encore grogner, embrasser n’est pas vraiment à l’ordre du jour. Un corps fin et musclé, pratique pour se faufiler n’importe où tout en étant capable de se défendre. Là où je vis, on se trace souvent des peintures de guerre sur le visage avec des plantes ou de la terre mélangé à de la cendre pour faire ressortir le noir. Vous l’aurez compris, j’ai l’allure d’une guerrière, mais j’en ai aussi toutes les cicatrices sur mon corps.



Histoire

Vous me croiriez si je vous disais que mon histoire pourrait bien commencer il y a des siècles de cela ? Il suffit de connaître mes ancêtres pour comprendre. Qui suis-je au fond ? Est-ce que la famille nous définit vraiment ? Je ne pense pas, surtout lorsqu’on n’a pas grandi avec la vraie, mais avant de partir sur ces détails, commençons déjà par les faits.
Ma mère biologique est une moroï, arrière arrière arrière, et j’en passe, petite fille de John O’Neill. Et oui, goujat déjà en tant que moroï, il faut dire qu’il n’y avait pas vraiment de préservatifs à son époque... Et si on s’intéressait au père maintenant ? Peter Johnson, ça vous dit quelque chose ? Oui oui, le strigoï qui bosse pour le gouvernement, c’est bien lui, sauf qu’il était encore humain à cette époque. A croire que tout le monde finit par se transformer. Enfin ce ne sera pas mon cas je vous rassure, plutôt mourir que de devenir comme eux.

Maintenant que les faits ont été évoqués, parlons de mon histoire, de ce qui m’est arrivé. Ma mère m’a éduqué les trois premières années de ma vie toute seule, Peter n’étant pas au courant de mon existence. Puis le premier drame se produit lorsqu’on m’arrache à ses bras pour m’emmener loin d’ici, vraiment loin. Oui j’ai été kidnappée, mais je ne m’en souviens pas, tout comme je n’ai pas le moindre souvenir de cette mère-là. J’ai traversé une partie du continent pour terminer en Amazonie. C’est là-bas que ma vie commence véritablement, là-bas que se forge mes premiers véritables souvenirs.

Saviez-vous qu’il y a une population de dhampirs et moroïs là-bas ? Le problème, c’est qu’ils n’ont pas d’académie pour se protéger et le nombre de strigoïs est en croissance dans cette région du Sud. Voilà pourquoi ils kidnappent de jeunes futures recrues, avoir le plus de guerriers à leur côté est devenu leur unique façon de survivre. Je sais, ça n’excuse pas le fait de voler des enfants à leurs parents, mais au moins ils le font très jeune pour ne pas qu’il y ait de traumatisme pour eux, quant aux parents et bien ils peuvent vivre avec l’espoir de retrouver un jour leur enfant. On ne m’a jamais raconté tout ça, mais je crois que je ne leur en voudrais pas de m’avoir choisis, je n’aurais jamais été aussi utile ailleurs qu’ici. En revanche je n’ai pas le moindre doute sur ma famille actuelle avec qui je vis très bien, deux parents, un frère et une sœur, probablement enlevés eux aussi.

On m’a rapidement enseigné le combat. A partir du moment où les enfants tiennent debout et comprennent ce qu’on leur dit, ils peuvent commencer l’entrainement, autant vous dire que j’ai été formé très vite. Mon peuple m’a tout appris, leur langage dit sauvage mais aussi le vôtre dit civilisé, la chasse, la pêche, la stratégie, les pièges et les combats, mais aussi les plantes médicinales et tout ce qu’il y a à savoir pour être capable de se sauver la vie et celle des autres en temps de guerre. A vos yeux nous ne sommes que des sauvageons, mais pour nous ce sont vous autres les sauvages.

Il y en aura eu des batailles, des victoires et des échecs, des rires et des larmes, des nouveaux arrivants et des pertes. Mes deux parents sont morts sous mes yeux, ma sœur a disparu, emportée par les strigoïs sans que jamais on ne la retrouve. Nous avons tous subi des pertes, mais nous ne cessons pas de nous battre pour autant. Le deuil commencera uniquement lorsque la guerre sera terminée.

A l’âge de treize ans, j’étais considérée comme l’une des plus fortes guerrières de mon peuple, tout le monde a accepté qu’une jeune soit leur nouvelle chef, mais évidemment je ne prenais pas les décisions toute seules. Sauf une... J’ai demandé en duel le chef des strigoïs, un combat à mort pour faire cesser cette guerre sans fin, le peuple perdant devra quitter les lieux sans chercher à obtenir vengeance. Il a accepté le défi et si mon peuple avait peur pour ma survie, je leur ai simplement demandé de me faire confiance. J’ai bien failli mourir cette nuit-là, mais après un combat acharné, j’ai découpé le torse du chef strigoï pour en arracher le cœur et le tendre vers le ciel en signe de trophée, de victoire. Nous avions enfin remporté la guerre.

Malheureusement ce n’était pas aussi simple que ça. J’aurais dû me douter que les strigoïs n’avaient aucune parole, qu’ils se contenteraient d’élire un nouveau chef et de repartir à l’attaque. Notre nombre diminuait considérablement mais on continuait de lutter. C’était désormais moi qu’il voulait, j’étais devenue la cible à abattre. Je n’en pouvais plus de toujours survivre et de voir les miens continuer de tomber. Alors j’ai accepté un nouveau dilemme sans savoir si une fois encore ils tiendraient vraiment parole. J’ai accepté de me rendre en échange de la survie de mon peuple qui devrait avoir quitté les lieux d'ici les deux prochains jours. Cette fois le contrat a été écrit et signé et c’est ainsi que je me suis retrouvée entre les mains de l’ennemi.

Attachée à un poteau, j’ai subi durant dix jours et dix nuits leurs tortures. Les cicatrices sur mon corps me rappelleront sans cesse ces instants, mais je les vois toujours comme une victoire, ces marques qui me prouvent que j’ai sauvé mon peuple tel un véritable chef l’aurait fait. Il faut savoir se sacrifier pour le bien commun. Je n’ai pas arrêté de perdre connaissance à cause de la fatigue et de cette perte de sang, me réveillant par moment à cause de la douleur ou de la soif. La dernière fois que j’ai ouvert les yeux, il y avait quelque chose de différent. Je me souviens des cris et des corps qui courent tout autour. Je me souviens de ce rouge, ce feu qui monte et cette odeur de brûlé. Je me souviens de l’odeur des corps consumés. Puis rien d’autre.

Quelqu’un m’a libéré de cet enfer. Qui ? Je ne sais pas. Je ne m’en souviens pas. Cette personne aurait très bien pu décidé de m’achever, mais à la place je me suis réveillée toute seule dans un motel, quelques billets posés à côté, mais je ne savais pas vraiment à quoi cela pouvait bien être utile. Je suis restée dans cette espèce de chambre sordide durant cinq jours, le temps de me remettre un minimum de mes blessures mais surtout parce que l’on m’a chassé de cet endroit ensuite. Où suis-je exactement ? Quel est cet endroit étrange ? Où sont passés les miens ? Tellement de questions sans réponses. Je ne sais même pas comment rejoindre mon peuple. Je ne parviens pas à retrouver la forêt, ou appelez ça la jungle si vous voulez. Il n’y a que des bâtiments immenses partout autour de moi, des personnes qui se baladent en costumes bien soignés et me regardent de haut, des engins à moteur qui font un bouquant infernal. Finalement on m’a sorti d’un enfer pour me plonger dans un autre bien différent mais probablement pire.



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