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 Lucas

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Lucas Cooper
Lucas Cooper
Le roi des ombres
Messages : 46
Date d'inscription : 16/05/2017
Age : 124
MessageSujet: Lucas   Lucas EmptyMar 16 Mai - 1:15




Lucas Cooper


feat. Dylan O'Brien

Date de Naissance : 07.02.1900 ~ Lieu de Naissance : Kansas
Âge : 115 ans ~ Statut : Célibataire ~ Groupe désiré : Strigoïs
Elément (pour les Moroï) : /


Caractère Je suis un jeune manipulateur, j’aime le sarcasme et la provocation, et lorsque je vous parle, je ne pèse pas mes mots, que vous soyez un allié ou un ennemi, je serais toujours direct avec vous, que vous aimiez ou non. J’aime entrer dans votre esprit et le retourner dans tous les sens jusqu’à vous en faire perdre la raison. La raison... Moi je n’en ai plus depuis bien longtemps. Il paraît que tous les strigoïs sont fous, mais moi je l’étais déjà dans mon humanité. Malgré mon esprit dérangé, j’ai gardé mon âme d’enfant, j’aime jouer et j’aime gagner. Tout est bon pour l’amusement, même lors d’une bataille ensanglantée, vous me trouverez là à compter les points. Par chance la folie n’a pas emporté mon côté surdoué avec elle, ce qui ne me rend que plus dangereux. Je suis toujours le premier à faire le rapprochement entre des détails qui peuvent paraître sans importance pour certains, le premier à résoudre des énigmes et à en créer pour vous. Il se trouve justement que les énigmes font partie de mes jeux favoris, allez-vous parvenir à trouver réponse à tout ? Je parie que je remporterai la partie.
Son physique L’avantage avec mon apparence, c’est que je peux décider quand me fondre dans la masse et quand être remarquable. Je peux ressembler au parfait petit étudiant modèle qui suit ses cours et espère obtenir secrètement rien qu’une danse au bal de promo avec la blonde que tout le monde apprécie. Je peux aussi passer pour cet homme d’affaire, riche et bien éduqué, jeune certes, mais ne dit-on pas qu’il faut croire en la jeunesse ? Je peux être cet ami qui sourit généreusement, ou bien cet ennemi qui vous perce de ses yeux sombres. Ne vous fiez jamais à ces yeux marrons et cette gueule d’ange, lui faire confiance serait votre plus grande erreur, le laisser s’approcher de trop près deviendrait votre pire cauchemar. Je prendrais plaisir à vous rendre fou... Aussi fou que je le suis.



Son Histoire

Racontez nous sa vie On se fiche bien de savoir où, quand et de quelle manière je suis né, n’est-ce pas ? On se fiche aussi de savoir si je prononçais le mot « maman » à mes un an. Ce qu’il faut savoir, c’est que j’étais l’unique enfant de cette famille et que j’ai grandi avec des parents aimants. Enfin, j’ai toujours suspecté avoir un frère ou une sœur caché, mais on a traduit cette obsession par un désir excessif de vouloir échapper à une espèce de solitude. Il y aura toujours un abruti pour trouver une raison scientifique à une simple envie. Malgré ce détail, les dix premières années de ma vie se déroulèrent aussi normalement que n’importe quel humain.

Il paraît que j’étais un enfant surdoué, dommage que ça ne soit pas si bien passé pour moi, j’aurais probablement pu faire de grandes choses. Tout a commencé à décliner à partir de ce symptôme, lorsque l’on a décelé chez ma mère une maladie cérébrale, la démence. J’avais remarqué qu’elle agissait étrangement dernièrement, mais je ne pensais pas que ce serait si grave, j’ai eu longtemps du mal à y croire. Lorsque l’on est enfant on aimerait que les choses restent intactes, on aimerait pouvoir protéger ceux qui nous sont proches, mais tout comme les adultes, nous sommes impuissants devant de tels problèmes. Cette expérience m’aura rapidement fait grandir, trop vite peut-être.

Les années se sont lentement écoulées et son état n’a fait qu’empirer. Nous sommes passés de quelques hallucinations et trouble de la mémoire à une véritable paranoïa. Cinq ans plus tard, elle passait quasiment plus de temps en hôpital qu’à la maison. Ce fut un véritable calvaire. Par moment elle ne me reconnaissait plus vraiment, parfois elle était violente, et souvent, bien trop souvent, elle pensait que je voulais la tuer. La vie n’a pas été généreuse avec cette pauvre famille, avec ma famille, et j’en ai toujours voulu au monde entier d’avoir grandi de la sorte, de n’avoir connu que ça, alors je me suis vengé sur les autres. Je suis rapidement passé de l’enfant modèle à l’ado détestable qui contredit toutes les règles et fait ce que bon lui semble. J’ai remis la faute sur mon père, pauvre homme déjà bien assez mal comme ça avec sa femme, il fallait que son garçon en rajoute une couche. Je fuguais souvent, allant d’appart en appart, de filles en filles. Je me complaisais dans le sexe, l’alcool et la drogue alors que je n’avais pas même atteint la majorité.

J’allais de moins en moins rendre visite à ma mère, à quoi bon ? Je ne supportais pas qu’elle ne me reconnaisse pas. Je ne supportais pas de la voir paniquer chaque fois que je croisais son regard, on aurait dit qu’elle voyait en moi le diable, comme ci j’allais causer sa perte, comme ci je le voulais. Peut-être qu’au fond, une part de moi le voulait vraiment, au moins elle ne souffrirait plus et nous pourrions enfin tourner la page. C’est finalement à mes dix-sept années que ma mère décéda, elle avait opté pour le suicide, une mort rapide, simple, peu douloureuse. Je ne suis pas venu à son enterrement, j’avais cumulé trop de problèmes à cette époque et je devais faire attention à cause de mes nombreuses dettes. Je n’ai pas versé de larmes lorsque l’on m’a appris sa mort, je crois qu’au fond j’en étais même soulagé. Est-ce monstrueux de penser ainsi ?

Mon père en a été dévasté et quelques mois plus tard il a fini par sombrer dans l’alcool. Triste famille n’est-ce pas ? Tragique destinée. Je suis finalement revenu à la maison, je ne pouvais plus continuer d’aller d’un endroit à l’autre. Mon père a été content de mon retour, au moins il n’était plus seul, et par je ne sais quel miracle nous sommes parvenus à reforger un lien solide. Je l’ai aidé à sortir de l’alcool et il m’a aidé à arrêter avec toutes ces drogues qui me dévastaient la santé. Nous étions sur la bonne voie, et durant deux ans nous avions l’espoir de retrouver une vie quelque peu normale.

Puis les nuits blanches ont commencé, mon esprit chauffait à mille à l’heure et il m’était impossible de le mettre sur off ne serait-ce qu’une petite heure. A partir des insomnies s’en suit la fatigue, à partir de la fatigue vient la nervosité, et à partir de la nervosité arrive l’agressivité. Mon père a d’abord pensé que j’avais rechuté ou bien quelque chose comme ça, je ne lui parlais pas ce qu’il m’arrivait, préférant éviter le sujet. J’ai gardé secret ces voix dans ma tête et de cette fillette qui m’apparaissait. Je pensais que la fatigue agissait étrangement sur mon esprit, mais mon père a finalement fait le rapprochement. Il m’a convaincu d’aller faire des tests, qu’il avait probablement tort mais qu’il voulait simplement s’en assurer. Finalement il s’est avéré qu’il avait raison. J’étais atteint de la même maladie cérébrale que ma mère, et le calvaire allait de nouveau se répéter.

Je ne sais pas pourquoi le destin s’acharne contre moi. Il s’avère que même dans ma vie d’humain je n’aurais pas le droit de connaitre la normalité. A dix-neuf ans on estima que j’étais trop jeune pour être enfermé dans un hôpital, j’étais encore dans un stade gérable malgré mon agressivité, alors on décida donc d’opter pour un suivit. Par chance mon état est resté stable au début, je pouvais continuer ma vie malgré les quelques séances chez les docteurs et psychologues. Je gardais encore espoir de m’en sortir, je faisais en sorte de leur mentir sur ce que je voyais, sur ce que j’avais réellement envie de faire chaque fois que j’entrais dans ce bureau pour discuter. Je les manipulais facilement et ça a toujours fonctionné. Puis ce montre a débarqué dans ma vie et a tout bouleversé.

J’étais à la fac et je rentrais d’un cours de nuit lorsque cette femme s’est faite agressée. On me qualifiait peut-être de fou, mais je n’étais pas le genre de lâche qui ne répond pas à un appelle en détresse. Alors je me suis contenté de me précipiter vers la source du bruit sans plus réfléchir. Un seul homme, je pouvais très bien m’opposer à lui et secourir cette brune, j’ignore lequel d’entre nous gagnera, mais elle vaut le coup d’essayer. Pourtant je n’ai pas eu le temps, la scène s’est déroulée bien trop rapidement sous mes yeux, d’une manière complètement anormale. J’ai aperçu ces deux canines et je me suis figé alors qu’il les plantait dans sa gorge. De là où j’étais, je pouvais parfaitement apercevoir ces traces rouge autour de ses yeux, et je comprenais qu’il était en train de boire le sang de cette femme. J’aurais dû courir dans le sens contraire, fuir, mais je me suis finalement précipité vers elle. Ce monstre aurait pu me tuer s’il en avait eu envie, mais il s’est contenté de relâcher cette femme, de me sourire de toutes ses dents et de disparaitre.

Je me suis précipité sur son corps, essayant de voir si elle respirait, mais j’ai alors entendu des hurlements autour de moi, et les choses se sont déroulées bien trop vite pour que j’ai réellement le temps de comprendre la mauvaise situation dans laquelle je me trouvais. On s’est contenté de m’arrêter et de me faire porter le chapeau pour cette agression, ou ce crime, étrangement ils n’ont pas précisé si la victime avait été tuée ou non. Afin de m’éviter la prison, mais père a plaidé la démence, et voilà comment j’ai atterri dans cet hôpital, celui où ma mère a passé ses dernières années d’existence. Evidemment lorsque je leur ai raconté qu’un monstre avec des yeux rouges et des canines avaient commis cet acte, ils se sont contentés de signaler que mon état s’était empiré et que je ne pourrais plus sortir de là au risque de représenter un danger pour la population.

Voilà comment j’ai passé les trois prochaines années de mon existence à être enfermé dans cet asile. Le problème lorsque l’on reste avec des fous, c’est que l’on finit nous-même par le devenir. Mon état a empiré, rapidement, trop rapidement. La petite fille que je voyais parfois est devenue une constance dans ma vie, m’accompagnant quoi que je fasse, où que j’aille, avec le temps j’ai fini par la considérer comme ma propre sœur. Je faisais partie des cas les plus instables, perdant le contrôle pour pas grand-chose, un regard trop longtemps fixé sur moi, une insulte, n’importe quoi. Ils voulaient que je sois fou, alors j’allais leur prouver à quel point je pouvais le devenir et faire de leur vie un véritable enfer. J’ai fini bien souvent en cellule d’isolement avec quelques milligrammes d’haldol.

Je vous épargnerais ces trois années qui ont été les pires de mon existence. Dites-vous simplement qu’elles n’auront pas aidé à arranger mon cas, bien au contraire. Je ne pensais pas pouvoir quitter ces murs un jour, mais j’oublie parfois que le destin aime jouer et qu’il a plus d’un tour dans son sac. J’ignore comment elle m’a retrouvé, mais je suis presque sûr que ce n’est pas la folie qui se moque de moi. Je suis sûr que c’est elle, celle que l’on m’a accusé d’avoir tué, celle que j’ai voulu secourir, sauf qu’aujourd’hui elle est rousse. Peut-être une simple couverture ? Je ne sais pas. J’ai rapidement compris qu’elle était venue pour moi, pour m’arracher à cette vie, pour me proposer une toute autre alternative. Même la mort était préférable à ce quotidien, mais elle avait bien mieux à me proposer. Elle se contenta de me montrer, et je sus alors la vérité. Nous ne sommes pas seuls, le surnaturel existe bien parmi nous et aujourd’hui il frappe à ma porte pour me donner la chance d’en faire partie. Comment refuser une telle proposition ?


Aujourd'hui, Le centre hospitalier a fermé ses portes et ne les a plus jamais rouvertes depuis le massacre du 13 mars 1922. Tout le monde en a entendu parler, ce jour a marqué l’existence de l’humanité avec un véritable bain de sang. Quant à moi ? Ce jour a marqué ma renaissance. La transformation m’a aidé à voir plus clair, je crois même qu’elle a guéri une partie de ma maladie, mais la démence persiste et je continue de vivre avec. Je crois que ce n’est pas plus mal, j’aurais du mal à continuer sans elle, sans cette petite sœur. Elle s’appelle Lucie, c’est elle qui me l’a dit, j’ai d’abord trouvé ironique se rapprochement entre son prénom et le mien, mais je n’ai jamais vraiment compris qu’elle n’était qu’une part de moi, je la considère réellement comme une personne à part entière alors qu’elle n’est que le fruit de mon imagination.

J’ai passé les quatre-vingt-treize autres années de mon existence à découvrir le monde, à apprendre absolument tout du surnaturel, mais surtout, je prenais plaisir à vivre. Je n’ai pas cherché à reprendre contact avec mon père, je préférai qu’il me pense mort lors de ce massacre, c’était bien plus simple ainsi. Je laissais souvent des cadavres derrière mon passage. Je n’essayais d’intégrer aucun groupe, personne ne semblait assez intéressant pour Lucie et je ne voulais pas la décevoir. Elle me suffisait comme compagnie. J’ai appris à créer mon propre jeu, mes propres règles. La vie représente pour moi une partie grandeur nature. Mélanger un surdoué avec de la folie ne fait pas forcément bon ménage, j’aime les défis, surtout lorsque l’on parie gros, et je trouve toujours une stratégie pour remporter la victoire. Même lorsque je suis censé avoir perdu, je manipule si bien que tout le monde finit persuadé de ma réussite.

J’ai récemment entendu parler de Missoula, comme quoi il s’y passe d’étranges phénomènes dernièrement. Il paraît que les êtres surnaturels sont attirés par cet endroit, je me demande bien pourquoi. Au départ je ne voulais pas vraiment m’y rendre, je n’aime pas être entouré par trop de strigoïs, j’aime avoir mon propre territoire et dominer. Mais Lucie a fini par me convaincre de nous y rendre, elle pense que nous avons notre rôle à jouer là-bas, notre nom à inscrire dans l’histoire de cette ville. Peut-être que cette ville sera un défi à la hauteur de mes espérances, car je commence par être lassé des parties trop simples à remporter.



Qui se cache derrière ?
Le grand méchant loup
Prénom/Pseudo : Mika
Age : 20 ans
Comment es-tu arrivé ici ? J'ai vu de la lumière et je me suis inscris
Un avis sur le forum ? Pourrait être mieux sans ce staff :p
Tes petits hobbies ? Vous maltraiter avec mes autres dcs
Avatar : Dylan O'Brien





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